Miette, toujours aux côtés de son père horloger, se meurt d'ennui. Chacun de ses soupirs mesure la mélancolie de ses interminables journées. Dans le silence de l'atelier, ses heures s'écoulent en battements de cœur ; les carillons rythment ses rêveries. Elle rêve d'une rencontre, de fantaisie, d'un grain de folie qui viendrait dérégler un instant sa vie monotone.
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