Un «livre-univers illustré» qui mêle croquis, peintures & faux documents
(coupures de presse, parchemins, emails...)…
Une des caractéristiques marquantes d’Ysambre est sans doute son univers graphique foisonnant, qui mêle végétal, minéral et organique.
L’univers d’Ysambre est essentiellement féérique (avec une forte influence celtique), mais se permet aussi un un va-et-vient entre plusieurs époques. Ainsi, le récit du narrateur, «fil rouge» de l’histoire, est entrecoupé d’articles de journaux, de mémos, d’e-mails... qui vont peu à peu apporter un éclairage différent sur l’histoire et sur la véritable nature de la forêt d’Ysambre
Alcyde, un apprenti cartographe, décide de pénétrer au coeur de la forêt d’Ysambre, dans l’espoir d’y retrouver son père, qui s’y est exilé. A la lisière du bois, il sauve la vie de Salliah, une jeune fille pourchassée pour avoir violé les lois de sa société. Désormais inséparables, ils s’aventurent au cœur du Vieux Bois, un lieu tabou où demeurent des créatures magnifiques, à mi-chemin entre l’humain et le végétal : les Sylphes. La végétation semble d’ailleurs étroitement liée à chacun des habitants d’Ysambre, qu’il s’agisse des rouge-fleurs, ces oiseaux qui éclosent avec la rosée, ou encore des Lacrymes, dont les larmes de sève constituent un nectar pour les papillons.
Après s’être réveillés un matin engloutis dans un réseau de racines, les rêves d’Alcyde et de Salliah sont hantés par des images confuses, liées au « projet EVA ». Tandis qu’ils progressent vers le cœur de la forêt, poursuivis par un Chasseur de la Druddica, les indices sur la véritable nature d’Ysambre se multiplient
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