vendredi 2 décembre 2011

Descendons dans le terrier du lapin blanc

Creusons un peu plus profond...
Voici le livre promotionnel pour la sortie de la version de Tim Burton, assez sympa même si ce n'est que de la promo...


Alice a été illustrée par les plus grands illustrateurs. John Tenniel, le premier. Il paraît qu'il y a eu énormément de mésententes entre lui et Dodgson, car ce dernier était très exigeant. J'ai une édition illustrée par Tenniel en anglais datant de 1899 trouvée à 3 euros à Emmaüs.

Arthur Racham y est passé aussi.

Marion m'a ramené d'Angleterre une version en anglais illustrée par Robert Ingpen.

La superbe BD de Coliandre, que je conseille vraiment.

Et l'autre alice de Coliandre pour illustrer la couverture d'une réédition de Carroll.

La version de Lostfish que j'aimerais beaucoup me procurer.

Une version manga.

Ainsi que quelques versions comics.





Il doit y avoir encore beaucoup d'autres versions que je ne connais pas. Dans un autre post, je parlerais des illustrateurs qui se sont essayé à donner une image à Alice. Le fait est que cet univers est totalement onirique et complètement absurde. Lewis Carroll était un maître de logique mais également de l'absurde. Dès lors, on peut absolument en faire n'importe quoi. Comme on peut le voir dans mon précédent post sur les films, il y a énormément d'esthétiques possibles.
Alice est le genre de livre que l'on doit lire dans un certain état d'esprit ou complètement défoncé. Perso, je l'ai lu mardi dernier avant mon opération, j'espérais que l'anesthésie me ferait descendre dans le terrier du lapin et que j'aurais des hallus du pays des Merveilles... Mais ils ne m'ont injecté qu'un déstressant léger et à part 2 petits malaises vagaux (enfin, je ne sais pas si ça existe pour le pluriel de vagal), je ne suis parti nulle part malheureusement...

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